Un lundi soir sur la terre
Allongé à ton coté, Morphée t’a subtilisé en pensé, mais la chair reste la, entendu, fragile, vulnérable.
Enivrante, t’es effluve me pénètre, s’imprègne, ne pas oublier, profité de chaque seconde.
Sereine tu te retourne, la le calvaire commence, la haine, le dégoût, la peur, la mort, la souffrance, le passé croise le futur en percutent le présent…
Posé sur ta nuque une main, le lien s’installe, les images viennent, les impressions fusent, les terreurs se transmette, un gémissement, un grand soupir puis plus rien… Thanatos a lâché sa proie, un sourire s’étale, des fossettes se forment.
La une pointe de chaleur se diffuse dans mon cœur, chauffe, rougi, se dilate, bille de plomb en fusion, fer rouge devenant blanc, fusion des deux être, l’un prend du plaisir, l’autre se consume.
Au matin des silences, et des mots vide et creux, que dire, sinon rien…
En partant, sans se retourner, d’un pas décidé ver une nouvelle journée…
Seul reste les secondes, qui une à une s’égraine et disparaisse…
Seul reste la douleur, d’une nuit trop parfaite…
Que dire sinon des banalités, que t’écrire de plus sinon que…
Tu le sais mais rien n’y fait…
Ecrit par ode, le Vendredi 7 Mai 2010, 15:49 dans la rubrique "Histoire".
Repondre a cet article
|