Lundi (19/12/11)
Hotel California
Sur une autoroute sombre et déserte Un vent frais passe dans mes cheveux La senteur tiède des colitas S'élevant à travers l'atmosphère Au loin J'aperçois une lumière vacillante Ma tête devient lourde et ma vue s'assombrit Je dois m'arrêter pour la nuit Elle se tenait debout dans l'encadrement de la porte J'entendais la cloche de l'église Et je pensais : Ca pourrait être le paradis comme ça pourrait être l'enfer Puis elle alluma une chandelle Et me montra la route Il y avait des voix au fond du couloir Il me semblait les entendre dire Bienvenu à l'Hôtel California Quel endroit délicieux Quel visage ravissant Il y a plein de chambres à l'Hôtel California Tout au long de l'année Vous pouvez le trouver ici Son esprit est entortillé Elle avait les courbes d'une Mercedes Elle avait plein de très, très beaux mecs Qu'elle appelait ses amis Comme ils dansent dans la cour Douce sueur estivale Certains dansent pour se souvenir D'autres pour oublier Alors j'ai appelé le Capitaine Apportez-moi mon vin s'il vous plaît Il me répondit Nous n'avons plus cet alcool depuis 1969 Et toujours ces voix qui m'appellent de loin Qui te réveillent au milieu de la nuit Juste pour les entendre dire Bienvenu à l'Hôtel California Quel endroit délicieux Quel visage ravissant Ils font leurs noces à l'Hôtel California Quelle belle surprise Apporte tes alibis
Il y a des miroirs au plafond Le champagne rose sur la glace Et elle dit Nous sommes juste des prisonniers ici De notre plein gré Et dans les chambres des maîtres d'hôtel Ils se réunissaient pour le festin Ils la piquaient avec leur couteaux d'acier Mais ils ne pouvaient tout simplement pas tuer la bête La dernière chose dont je me souviens Je courrais en direction de la porte Je devais trouver le chemin du retour pour revenir à l'endroit où j'étais avant Reste calme me dit un gardien de nuit Nous sommes programmés pour accueillir Tu peux quitter l'hôtel quand tu veux
Mais tu ne peux jamais partir
the Eagles
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Ecrit par ode, a 08:46 dans la rubrique "Chansons".
Jeudi (15/12/11)
Something stupid
Quelque chose de stupide Je sais que j'attendrai toujours, Jusqu'à ce que tu penses que tu ais le temps pour passer une soirée avec moi et si nous allons danser quelque part je sais qu'il y a un risque que tu ne rentres pas avec moi Et ensuite nous irons dans un endroit tranquille et nous prendrons un verre ou deux Et après je gâcherai tout en disant quelque chose de stupide comme :"je t'aime" je peux le voir dans tes yeux que tu méprises les bonnes vieilles répliques que tu as entendues la nuit précédente Et même si tu penses que ce n'est qu'une réplique pour moi c'est vrai ça n'a jamais été si vrai avant je m'entraine tout les jours pour trouver quelque mots intelligents à dire pour que la signification devienne réalité mais je pense que je vais attendre jusqu’à ce qu'il se fasse tard et que je sois seul avec toi C'est le bon moment ton parfum emplit ma tête les étoiles deviennent rouges et oh, la nuit est si bleue et je vais tout gâcher en disant quelque chose comme: "je t'aime" C'est le bon moment ton parfum emplit ma tête les étoiles deviennent rouges et oh, la nuit est si bleue et je vais tout gâcher en disant quelque chose comme: "je t'aime" "je t'aime" x3 Frank SINATRA et Nancy SINATRA
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Ecrit par ode, a 17:17 dans la rubrique "Chansons".
Vendredi (14/10/11)
Come On Boys
Le petit Adolphe et le petit Jean-Marie Jouent à la marelle en comptant passer les chars Quand je serai grand je veux être président Quand je serai grand j'inonderai le monde de sang
Le petit Adolphe et le petit Jean-Marie Ne jouent jamais aux billes sans truffer le sol de mines Regardent avec respect leur drapeau virevolter Il lui faudra du sang pour que le rouge y brûle ardent
Soumis ou en pièces, rampant ou gazés Il leur faut un guide, il leur faut m'aimer Quand je ferme les yeux, le monde est soumis Purifiée est la terre, par le sang la mort
L'emprise du mal, l'emprise du bien, lequel des deux ira plus loin Destins bancals, rêves incertains, lequel des deux est bon à rien?
L'emprise du mal, l'emprise du bien, lequel des deux ira plus loin Destins bancals, rêves incertains, lequel des deux est bon à rien?
Le petit Adolphe et le petit Jean-Marie Emportés par la fougue se mettent à s'exciter Ils frétillent et bavent d'une envie sanguinaire Rythmant au tambour les défilés militaires
Le petit Adolphe et le petit Jean-Marie Une larme à l'œil de verre ont vu passer la fanfare Et les drapeaux flottent enflammés par l'ivresse Vibrant dans le cœur de l'élite meurtrière
Soumis ou en pièces, rampant ou gazés Il leur faut un guide, il leur faut m'aimer Quand je ferme les yeux, le monde est soumis Abreuvés sont nos sillons, par le sang la mort
L'emprise du mal, l'emprise du bien, lequel des deux ira plus loin Destins bancals, rêves incertains, lequel des deux est bon à rien? X4
Ludwig Von 88
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Ecrit par ode, a 17:39 dans la rubrique "Chansons".
Jeudi (21/07/11)
Madame la Marquise
Allô, allô, James, quelles nouvelles Absente depuis quinze jours, Au bout du fil je vous appelle Que trouverai-je à mon retour ?
Tout va très bien, madame la Marquise Tout va très bien, tout va très bien Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise On déplore un tout petit rien Un incident, une bêtise, La mort de votre jument grise Mais à part ça, Madame la Marquise Tout va très bien, tout va très bien !
Allô, allô, Martin, quelles nouvelles Ma jument grise, morte aujourd'hui ? Expliquez moi, cocher fidèle, Comment cela s'est-il produit ? Cela n'est rien, madame la Marquise Cela n'est rien, tout va très, Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise On déplore un tout petit rien Elle a périt dans l'incendie Qui détruisit vos écuries Mais à part ça, madame la Marquise Tout va très bien, tout va très bien ! Allô, allô, Pascal, quelles nouvelles Mes écuries ont donc brûlé ? Expliquez moi, mon chef modèle Comment cela s'est-il passé ?
Cela n'est rien, madame la Marquise, Cela n'est rien, tout va très bien ! Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise On déplore un tout petit rien Si l'écurie brûla madame, C'est qu'le château était en flamme, Mais à part ça, madame la Marquise Tout va très bien, tout va très bien ! Allô, allô, Lucas, quelles nouvelles Notre château est donc détruit ? Expliquez moi car je chancelle ! Comment cela s'est-il produit ?
Eh! bien voilà, madame la Marquise Apprenant qu'il était ruiné A peine fut-il rev'nu de sa surprise Qu' Monsieur l'Marquis s'est suicidé Et c'est en ramassant la pelle Qu'il renversa toutes les chandelles Mettant le feu à tout l'château Qui s'consuma de bas en haut Le vent souflant sur l'incendie, Le propageant sur l'écurie Et c'est ainsi qu'en un moment On vit périr votre jument Mais à part ça, madame la Marquise Tout va très bien,tout va très bien ! Ray Ventura et de ses Collégiens
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Ecrit par ode, a 08:13 dans la rubrique "Chansons".
Jeudi (14/07/11)
N'import' nawak
Ma vie est un enfer sans que sans que je ne le veuille Quand je serai sous terre personne ne portera le deuil Car je n'ai pas d'amis et je ne fais que des conneries On me traite de "raté loupé taré pédé pourri" Pourquoi pédé ? Parce qu'un jour me promenant Boulevard Barbès Je sens sous mon blouson une main sur mes fesses Je me retourne et ma parole je vois un sex-symbol A qui je roule une pelle et qui s'appelait Paul N'importe n'awak Tu fais n'importe quoi tout le temps N'importe n'awak Tu fais n'importe quoi tout le temps, tout le temps, tout le temps Pour conduire la voiture attention l'aventure Quand tu me mets sur la route ça devient Beyrouth Et pourtant je m'appliquais pour éviter la colle Vu le fric que je raquais dans mon auto-école Mais pas de bol... ide GT Turbo qui me colle au cul Le moniteur flippé qui me demande si je l'ai vu Un oeil dans le rétro pour vérifier ce qu'il me dit Juste le temps qu'il me faut pour prendre le sens interdit N'importe n'awak Tu fais n'importe quoi tout le temps N'importe n'awak Tu fais n'importe quoi tout le temps, tout le temps, tout le temps Attends... Tu sais si c'est vrai que tu fais des conneries C'est pas toi qui as construit des bureaux vides à Paris T'as pas balancé des chars sur la place Tien An Men T'as pas balancé d'arabes en 61 dans la Seine T'as pas truffé tes frontières de mines antipersonnelles T'as pas acheté d'actions, surtout les actions du tunnel Sous la Manche Tu baises pas à la Maison Blanche T'emmènes pas des collégiens faire du ski dans une avalanche T'as pas pris en viager la maison de Jeanne Calmant T'as pas manifesté contre l'avortement T'as jamais affirmé que c'était un détail T'as pas fait sauté 5 étages au FBI Tu commentes pas le football sur TF1 T'as pas loupé ton virage à 260 en Formule 1 T'as pas inventé le course du Paris-Dakar T'écris pas des blagues pourries pour Carambar T'as pas shooté les flics sur la place de la Nation C'est pas toi qui as décidé la dissolution T'as jamais transfusé le Sida à des hémophiles C'est pas toi qui as dessiné les plans de Tchernobyl T'as pas décimé les aztèques, les mayas, les protestants, Les juifs, les albanais, les tutsis, les hutus, les croates, Les kurdes, les tziganes, les tibétains ni les apaches Tu rentres pas dans les églises à coup de haches Alors tu vois... C'est cool Alors tu vois C'est cool c'est cool c'est cool c'est cool
Les Wriggles
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Ecrit par ode, a 22:20 dans la rubrique "Chansons".
Mardi (17/05/11)
J'irai au bout de mes rêves
Et même si le temps presse Même s'il est un peu court Si les années qu'on me laisse Ne sont que minutes et jours
Et même si l'on m'arrête Ou s'il faut briser des murs En soufflant dans des trompettes Ou à force de murmures
J'irai au bout de mes rêves Tout au bout de mes rêves J'irai au bout de mes rêves Où la raison s'achève Tout au bout de mes rêves
Et même s'il faut partir Changer de terre ou de trace S'il faut chercher dans l'exil L'empreinte de mon espace
Et même si les tempêtes Les dieux mauvais, les courants Nous feront courber la tête Plier genoux sous le vent
J'irai au bout de mes rêves Tout au bout des mes rêves J'irai tout au bout de mes rêves Où la raison s'achève Tout au bout de mes rêves
Et même si tu me laisses Au creux d'un mauvais détour En ces moments où l'on teste La force de nos amours
Je garderai la blessure Au fond de moi tout au fond Mais au-dessus je te jure Que j'effacerai ton nom
J'irai au bout de mes rêves...
Jean-Jacques Goldman
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Ecrit par ode, a 15:49 dans la rubrique "Chansons".
Vendredi (08/04/11)
Ta petite culotte
{Refrain:} Je suis ta petite culotte Une culotte de coton blanc Je suis ta petite culotte Bam bam bam Bam bam bam Je suis ta petite culotte Une culotte de coton blanc Je suis ta petite culotte Tu cours, tu trottes Et mes élastiques Se tendent et s'agrippent Tu t'assois sur moi M'écrase et croise les jambes M'étouffe J'ai peur quand tu tousses {au Refrain} Pour faire coquet Un petit noeud de ruban rose cousu devant Une culotte pour la journée Je ne vais pas au restaurant {au Refrain} Au loin j'entends ta voix Mais je ne comprends pas Le sens de tout ce que tu dis Mais mieux que toi Où je suis je sais Ce que tu penses {au Refrain} Tu m'ôtes et comme baiser d'adieu Tu me renifles Et d'une main distraite me jettes Dans le tambour de la machine {x2:} Je suis ta petite culotte Une culotte de coton blanc Je suis ta petite culotte Bam bam bam Bam bam bam
David LAFORE
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Ecrit par ode, a 15:16 dans la rubrique "Chansons".
Samedi (12/03/11)
Cours Vite
Quand le calme devient un faiblesse Quand le fait de baisser toujours baisser la tête Quand le peuple n'a plus de prophète Et qu'il endure les manipulations de fait
Quand un jour à force de nous faire croire Que ça ira mieux, qu'ailleurs c'est bien moins chouette Quand le peuple sens qu'on se paie sa tête Il se réveille et met le feu Cours vite !
Quand le calme devient une faiblesse Les masques se déchirent, que le réel paraisse Quand demain nous tous dans la liesse Demanderons les comptes tout en rendant les coups
Pourfendeur des discours rebelles Me gaussant des révoltes des révoltes et louant le système Je mesure maintenant la faiblesse De mes vieux arguments Pardonnez ma jeunesse
Le calme devient une faiblesse...Cours vite ! Le calme devient une faiblesse...Cours vite !
Quand le calme devient une faiblesse Et que mon père espère récolter ce qu'il sème Le mensonge a noyé ses rêves Mais ce qui coule dans mes veine est La rage qu'il me lègue
Le combat ne peut s'arrêter Quand nous fermerons les yeux, nous passerons le relais Tôt ou tard nous verrons se hisser L'étendard de la masse...souillé
Le calme devient une faiblesse...Cours vite ! Le calme devient une faiblesse...Cours vite !
Toi mon père qui lutte et qui saigne Pour voir ses fils un jour récolter ce qu'il sème Le mensonge a noyé ses rêves Mais ce qui coule dans mes veine est la rage qu'il me lègue
Le calme devient une faiblesse...Cours vite ! Le calme devient une faiblesse...Cours vite !
Silmarils
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Ecrit par ode, a 23:16 dans la rubrique "Chansons".
Vendredi (24/09/10)
Tout s'efface
Je vais t'attendre au coin de la rue A l'heure où les lumières s'éteignent Quand tu auras trop dansé, trop bu
A l'heure où ne restera plus Que mon bras pour poser ta peine, On partira ensemble une fois de plus
Tu m'embrasseras comme je déteste, Avec cette tendresse que tu mets si bien Entre toi et moi
Bien sûr que le temps a passé, Que notre histoire est terminée... Peut-être, mais peut-être pas pour moi
Même si je sais que tout s'efface Tu restes là et rien ne passe... Tu m'aimes bien, je t'aime tout court La différence s'appelle l'amour
Trois tours de périph, fenêtre ouverte Je vois passer ce qu'on aurait pu être Oui, je t'en veux, mais moins qu'à moi
Et puis pourquoi m'avoir rappelé Pourquoi revenir me chercher Pour te voir rire, te voir pleurer sans moi...
Tu veux pas de moi, tu veux pas me perdre, Alors ce choix, je le fais pour toi C'est moi qui pars
Même si je sais que tout s'efface Tu restes là et rien ne passe... Tu m'aimes bien, je t'aime tout court La différence s'appelle l'amour
Même si je sais que tout s'efface Tu le disais, chacun sa place... Tu m'aimes bien, je t'aime tout court La différence s'appelle l'amour
Laisse-moi venir de temps en temps, Laisse-moi me dire que c'est comme avant... Laisse-moi partir, même si je mens, Laisse-moi me dire qu'avec le temps...
Même si je sais...
Patrick Bruel
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Ecrit par ode, a 15:18 dans la rubrique "Chansons".
Vendredi (02/07/10)
Fais-moi une place
Fais-moi une place Au fond de ta bulle Et si je t'agace Si je suis trop nul Je deviendrai Tout pâle, tout muet, tout petit Pour que tu m'oublies Fais-moi une place Au fond de ton coeur Pour que je t'embrasse Lorsque tu pleures Je deviendrai Tout fou, tout clown, gentil Pour que tu souries Je veux que t'aies jamais mal Que t'aies jamais froid Et tout m'est égal Tout, à part toi Je t'aime Fais-moi une place Dans ton avenir Pour que je ressasse Moins mes souvenirs Je serais jamais Éteint hautain lointain Pour que tu sois bien Fais-moi une place Dans tes urgences Dans tes audaces Dans ta confiance Je serai jamais Distant, distrait, cruel Pour que tu sois belle Je veux pas que tu t'ennuies Je veux pas que t'aies peur Je voudrais que tu oublies Le goût du malheur Je t'aime Une petite place Ici, maintenant Car le temps passe À pas de géant Je me ferai Tout neuf, tout beau, tout ça... Pour être à toi Je me ferai Tout neuf, tout beau, tout ça... Pour être à toi Pour être à toi
Julien Clerc
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Ecrit par ode, a 11:22 dans la rubrique "Chansons".
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