Vendredi (19/02/16)
bonne conduite
Loin de moi l’idée farfelue de prétendre vous asséner d’un trait les vérités absolues, vous êtes ici de votre plein gré. Comme madame vous l’a montré et démontré, la gorge peut être traitée de maintes et multiples façons, vous fûtes je crois, à en entendre les mélodieux sons porcins jaillissant de ce lieux, qui me firent accourir pensant à malheur que ma mie fut terrassée par une douleur indéfinissable, un bon élève je le crois.
Il serait inconvenant de ma part de jeter le doute quant à votre présence dans le petit salon, il serait mal venu de la vôtre de ne point remettre votre tenue en une ordonnance correcte où le haut ne serait point en bas et vice et versa.
Sachez monsieur et vous madame, que je ne demanderai pas réparation de l’affront que vous venez à deux de me faire.
Apprenez tout du moins, que seule la porte qui se tient derrière moi n’est verrouillée, que vu que par courtoisie envers moi et le pamphlet qui à coup sûr en aurait émané, vous avez donné congé pour la journée à nos gens et que par mégarde une bougie est tombé sur les rideaux du boudoir, oui, les six voyez où conduit la déveine dans votre vie, il se pourrait que cela soit votre denier ébat.
Ne vous inquiétez pas vous reposerez dans le caveau de vos ancêtres, il serait bon que vous leur adressiez une ultime prière, car si d’après vos dires toute votre noble ascendance a franchi sans encombre les portes de Pierre le Saint, vous n’en verrez pas un écrou.
Je vous enlève un souci de plus ma chère, grâce a votre fortune je me fais un devoir de me racheté auprès de qui de droit pour que l’éternité qui me sera accordée le soit bien accompagné.
Allons ma mie, ne pleurez pas, la rage et la supplique ne vous vont pas.
Je pars de ce pas me lamenter dans la rue, après que ma partie de jeu de paume soit achevée bien entendu, je m’en voudrai tant de faire patienter votre père.
A dieux donc belle Lilith, ou à diable devrais-je dire.
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Ecrit par ode, a 10:07 dans la rubrique "Histoire".
Jeudi (08/01/15)
VDM
J’ai perdu un ami, pas un de ceux que je côtoie et avec qui je bois des coups, mais un de ceux qui nous accompagne depuis notre plus jeune âge par une présence plaisante, un qui a le bon goût de ne laisser que des bons souvenirs. Petit on le voyait dessiner dans récré A2, il prenait un malin plaisir à se représenter se prenant des claques pour les caricature qu’il faisait, on a découvert le grand Duduche, qui tel Lagaffe voit la vie avec des yeux d’enfant et donc s’interroge sur les bêtises de la vie et des hommes. Puis en grandissant il était là dans divers journaux, militant par la plume…
J’ai eu la chance de le croiser plusieurs fois dans Paris, ho de loin, je n’ai pas osé lui parler ni même lui dire qu’il faisait parti de ceux qui m’ont donné une conscience politique et un regard comique sur des choses graves, depuis son assassinat je me demande se qu’il aurait dessiné sur ce funeste événement…
Le beauf aurait sûrement dit « ils l’ont bien cherché avec toutes les conneries qu’ils ont dessiné »
Mais le grand Duduche… se serait ‘il seulement exprimé, je l’imagine déambulant dans Paris en silence avec une l’arme à l’œil car il était Cabu, incapable de violence, il dispensait du rire et de l’amour la ou d’autres sèment la violence et la haine.
Je ne me rappelle pas l’avoir vu sans son sourire…
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Ecrit par ode, a 08:08 dans la rubrique "Reac".
Lundi (23/12/13)
La restauration à la télé
--> ou quand les règles élémentaires de l’hygiène sont envoyées à la poubelle.
Il n’y a aucune émission
culinaire qui montre la réalité d’un restaurant. Je parle bien des émissions
qui se déroulent dans les restaurants ou fac-similé (les concours de cuisine en
studio), pas de celles où les cuisiniers viennent sur des plateaux télé et qui
sont plutôt une version de ce qu’il est possible de faire à la maison.
Une cuisine est un lieu
propre ou les employés se doivent de travailler en tenue complète. Par cela,
comprendre de bas en haut : Une paire de chaussures de
sécurité conforme Un pantalon (le plus
souvent un pied-de-poule) Une veste de cuisine ou
une blouse Un tablier (facultatif
mais bien utile) Un tour de cou (facultatif
aussi) Une toque ou un calot.
Dans les émissions en
question, on voit des cuisiniers découverts, les cheveux longs carrément
détachés, qui passent leur temps à fourrer leurs doigts dans les sauces pour
les goûter, se recoiffent allègrement avant de remettre la main à la pâte, etc…
J'ai même vu une jeune femme cuisinier dans un 3 étoiles avec de grosses bagues
fantaisie et une manucure. La simple vue d’un
"top chef" qui dégouline de sueur dans ses plats, et se lèche les
doigts puis s’essuie dans son chiffon ou dans son tablier me fait bondir. Ne se lavent-ils jamais
les mains ? Les épreuves sont-elles
plus importantes que les règles qui sont faites pour limiter les intoxications
et autres infections ? Que font-ils des notions
et valeurs de respect du client que tout cuisinier apprend lors de sa formation
hôtelière ?
Dans toutes les
préparations, il est facile de constater que rien n'est fait correctement.
La phase de pluche est souvent la plus drôle. Les candidats posent tous leurs
produits sur la table et commencent à éplucher leurs légumes, souvent sans les
avoir lavés. Pas de tri des autres denrées qui de fait reçoivent des
projections de terre et autres. Pas de filmage et apposition de la date pour
mise au frigo des aliments fragiles. Et bien sur la planche à découper,
intégrée au plan de travail, est souillée en permanence par tout ce qu’ils
posent dessus en vrac, déchets compris, sans jamais la nettoyer entre deux
étapes.
Vous me direz peut-être que c’est fait hors antenne ? Et bien si c’est le
cas, c’est bien dommage, car le public manque alors ces moments cruciaux, et
risque ainsi de les ignorer ou de croire qu’il est possible de s’en dispenser.
Il est vrai que les règles
d’hygiène en restauration sont lourdes et demandent beaucoup de paperasse. Je
comprends qu’une émission de divertissement ne montre pas les cuisiniers
enregistrer les températures des chambres froides ou signer les feuilles
d’émargement de nettoyage des locaux. Cela fait bien partie du métier mais ce
n’est pas très « glam », admettons-le. Ceci dit, je ne parle pas
des lourdeurs administratives, mais bien de basiques enfantins, inévitables,
indispensables. J'estime qu'il est honteux de ne les mentionner à aucun moment.
Si les services de
l’hygiène passaient dans une de ces émissions, les plats finiraient à la
poubelle car impropres à la consommation. Quand on passe un diplôme
hôtelier, la note d’hygiène est éliminatoire. Pourquoi ne pas faire la même
chose à la télévision ?
Le goût, l’odeur et
l’aspect ne sont pas tout. S'il y a l’art et la manière de bien réaliser un
plat, l'hygiène en fait partie. Le but in fine est de passer un bon
moment, et bizarrement un lavage d’estomac à l’hôpital n’est généralement pas
considéré comme « un ravissement pour ses convives » …
On ne s’improvise pas chef
de cuisine, ni cuisinier. C’est un métier qui demande un savoir faire et une
rigueur qui sont en évolution constante. Les normes d’hygiène changent
régulièrement, avec une grande réforme (européenne ou Française tous les 5 à 10
ans).
Les restaurants poussent
comme des champignons dans toute la
France, mais combien ferment chaque année par manque de
connaissances des soi-disant « chefs de cuisine » ou
« gestionnaires »? Les relevés sont édifiants (http://www.hrimag.com/Fermeture-de-restaurants).
On a des sous de coté,
Madame est bonne cuisinière, ou Monsieur fait les pâtes à la perfection,
conclusion… tadaaaa ouvrons un restaurant ça doit pas être compliqué !
Résultat, famille sur la
paille, employés licenciés et dans les meilleurs des cas, de grosses dettes
envers les fournisseurs, quand ça n’est pas une plainte pour intoxication
alimentaire, ce qui peut entraîner de très lourdes peines… Bien gérer un
restaurent est un défi de tous les jours, en restauration une mauvaise journée
est une mauvaise journée. On ne peut pas poser un dossier sur le bord du bureau
pour le finir demain, car pour nous, un client qui ne mange pas chez nous
aujourd’hui ne mangera pas deux fois demain pour nous faire plaisir. Les
relevés, le suivi des marchandises, le nettoyage, en gros toutes les tâches
d’un cuisinier qui ne sont pas la cuisine en tant que telle, lui prennent une
bonne moitié de la journée, et quand je dis journée, c’est tous les jours et sans
faute.
Ces émissions diverses me
choquent, car elles entretiennent l’idée que la restauration est un hobby dont
on peut faire un métier sans grands efforts.
Tout comme savoir changer
changer un pneu ne fait pas de vous un bon mécanicien, savoir réaliser un bon
petit gueuleton pour vos copains ne fait pas de vous un cuisinier.
Et bon appétit bien
sûr !
Lire l'article ! (suite de l'article + 3 commentaires)
Ecrit par ode, a 13:02 dans la rubrique "Reac".
Dimanche (24/11/13)
La restauration à la télé
--> ou quand les règles élémentaires de l’hygiène sont envoyées à la poubelle.
Il n’y a aucune émission
culinaire qui montre la réalité d’un restaurant. Je parle bien des émissions
qui se déroulent dans les restaurants ou fac-similé (les concours de cuisine en
studio), pas de celles où les cuisiniers viennent sur des plateaux télé et qui
sont plutôt une version de ce qu’il est possible de faire à la maison.
Une cuisine est un lieu
propre ou les employés se doivent de travailler en tenue complète. Par cela,
comprendre de bas en haut : Une paire de chaussures de
sécurité conforme Un pantalon (le plus
souvent un pied-de-poule) Une veste de cuisine ou
une blouse Un tablier (facultatif
mais bien utile) Un tour de cou (facultatif
aussi) Une toque ou un calot.
Dans les émissions en
question, on voit des cuisiniers découverts, les cheveux longs carrément
détachés, qui passent leur temps à fourrer leurs doigts dans les sauces pour
les goûter, se recoiffent allègrement avant de remettre la main à la pâte, etc…
J'ai même vu une jeune femme cuisinier dans un 3 étoiles avec de grosses bagues
fantaisie et une manucure. La simple vue d’un
"top chef" qui dégouline de sueur dans ses plats, et se lèche les
doigts puis s’essuie dans son chiffon ou dans son tablier me fait bondir. Ne se lavent-ils jamais
les mains ? Les épreuves sont-elles
plus importantes que les règles qui sont faites pour limiter les intoxications
et autres infections ? Que font-ils des notions
et valeurs de respect du client que tout cuisinier apprend lors de sa formation
hôtelière ?
Dans toutes les
préparations, il est facile de constater que rien n'est fait correctement.
La phase de pluche est souvent la plus drôle. Les candidats posent tous leurs
produits sur la table et commencent à éplucher leurs légumes, souvent sans les
avoir lavés. Pas de tri des autres denrées qui de fait reçoivent des
projections de terre et autres. Pas de filmage et apposition de la date pour
mise au frigo des aliments fragiles. Et bien sur la planche à découper,
intégrée au plan de travail, est souillée en permanence par tout ce qu’ils
posent dessus en vrac, déchets compris, sans jamais la nettoyer entre deux
étapes.
Vous me direz peut-être que c’est fait hors antenne ? Et bien si c’est le
cas, c’est bien dommage, car le public manque alors ces moments cruciaux, et
risque ainsi de les ignorer ou de croire qu’il est possible de s’en dispenser.
Il est vrai que les règles
d’hygiène en restauration sont lourdes et demandent beaucoup de paperasse. Je
comprends qu’une émission de divertissement ne montre pas les cuisiniers
enregistrer les températures des chambres froides ou signer les feuilles
d’émargement de nettoyage des locaux. Cela fait bien partie du métier mais ce
n’est pas très « glam », admettons-le. Ceci dit, je ne parle pas
des lourdeurs administratives, mais bien de basiques enfantins, inévitables,
indispensables. J'estime qu'il est honteux de ne les mentionner à aucun moment.
Si les services de
l’hygiène passaient dans une de ces émissions, les plats finiraient à la
poubelle car impropres à la consommation. Quand on passe un diplôme
hôtelier, la note d’hygiène est éliminatoire. Pourquoi ne pas faire la même
chose à la télévision ?
Le goût, l’odeur et
l’aspect ne sont pas tout. S'il y a l’art et la manière de bien réaliser un
plat, l'hygiène en fait partie. Le but in fine est de passer un bon
moment, et bizarrement un lavage d’estomac à l’hôpital n’est généralement pas
considéré comme « un ravissement pour ses convives » …
On ne s’improvise pas chef
de cuisine, ni cuisinier. C’est un métier qui demande un savoir faire et une
rigueur qui sont en évolution constante. Les normes d’hygiène changent
régulièrement, avec une grande réforme (européenne ou Française tous les 5 à 10
ans).
Les restaurants poussent
comme des champignons dans toute la
France, mais combien ferment chaque année par manque de
connaissances des soi-disant « chefs de cuisine » ou
« gestionnaires »? Les relevés sont édifiants (http://www.hrimag.com/Fermeture-de-restaurants).
On a des sous de coté,
Madame est bonne cuisinière, ou Monsieur fait les pâtes à la perfection,
conclusion… tadaaaa ouvrons un restaurant ça doit pas être compliqué !
Résultat, famille sur la
paille, employés licenciés et dans les meilleurs des cas, de grosses dettes
envers les fournisseurs, quand ça n’est pas une plainte pour intoxication
alimentaire, ce qui peut entraîner de très lourdes peines… Bien gérer un
restaurent est un défi de tous les jours, en restauration une mauvaise journée
est une mauvaise journée. On ne peut pas poser un dossier sur le bord du bureau
pour le finir demain, car pour nous, un client qui ne mange pas chez nous
aujourd’hui ne mangera pas deux fois demain pour nous faire plaisir. Les
relevés, le suivi des marchandises, le nettoyage, en gros toutes les tâches
d’un cuisinier qui ne sont pas la cuisine en tant que telle, lui prennent une
bonne moitié de la journée, et quand je dis journée, c’est tous les jours et sans
faute.
Ces émissions diverses me
choquent, car elles entretiennent l’idée que la restauration est un hobby dont
on peut faire un métier sans grands efforts.
Tout comme savoir changer
changer un pneu ne fait pas de vous un bon mécanicien, savoir réaliser un bon
petit gueuleton pour vos copains ne fait pas de vous un cuisinier.
Et bon appétit bien
sûr !
Loin
de moi l’idée farfelue de prétendre vous asséner d’un trait les vérités absolues,
vous êtes ici de votre plein gré. Comme madame vous l’a montré et démontré, la
gorge peut être traitée de maintes et multiples façons, vous fûtes je crois, à
en entendre les mélodieux sons porcins jaillissant de ce lieux, qui me firent
accourir pensant à malheur que ma mie fut terrassée par une douleur indéfinissable,
un bon élève je le crois. Il
serait inconvenant de ma part de jeter le doute quant à votre présence dans le
petit salon, il serait mal venu de la vôtre de ne point remettre votre tenue en
une ordonnance correcte où le haut ne serait point en bas et vice et versa. Sachez
monsieur et vous madame, que je ne demanderai pas réparation de l’affront que
vous venez à deux de me faire. Apprenez
tout du moins, que seule la porte qui se tient derrière moi n’est verrouillée,
que vu que par courtoisie envers moi et le pamphlet qui à coup sûr en aurait
émané, vous avez donné congé pour la journée à nos gens et que par mégarde une
bougie est tombé sur les rideaux du boudoir, oui, les six voyez où conduit la
déveine dans votre vie, il se pourrait que cela soit votre denier ébat. Ne
vous inquiétez pas vous reposerez dans le caveau de vos ancêtres, il serait bon
que vous leur adressiez une ultime prière, car si d’après vos dires toute votre
noble ascendance a franchi sans encombre les portes de Pierre le Saint, vous
n’en verrez pas un écrou. Je
vous enlève un souci de plus ma chère, grâce a votre fortune je me fais un
devoir de me racheté auprès de qui de droit pour que l’éternité qui me sera accordée
le soit bien accompagné. Allons
ma mie, ne pleurez pas, la rage et la supplique ne vous vont pas. Je
pars de ce pas me lamenter dans la rue, après que ma partie de jeu de paume soit
achevée bien entendu, je m’en voudrai tant de faire patienter votre père. A
dieux donc belle Lilith, ou à diable devrais-je dire.
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Ecrit par ode, a 00:55 dans la rubrique "Histoire".
récit
Le temps passait, passe,
passera, paresseuse caresse, divin prétoire, ou l’on déverse les sucreries de
l’Histoire.
Il était, est, sera une fois,
dix fois cent fois qui sait où l’aventure s’arrêtera, limbe du ciel, éclat de
la nuit, ténèbres hospitalières…
Il irait ou ira, de sont
petit couplet, personne pour contredire des paroles trop répétées habitude malhabile
gravé dans la multitude.
En cet instant ou en un
prochain, je me rends compte que je ne sais rien…
Si message il y avait,
a ? bien que lisant je ne le trouve pas.
Ne me dites rien, surtout
rien, ne serait-ce qu’une mauvaise blague que cela ?
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Ecrit par ode, a 00:54 dans la rubrique "Poesie".
vie ma vie
Ha comme il est doux l’hiver
quand il est froid, gèle les cœurs, crispe les mains dans de démentes postures.
Le froid taille son chemin entre les crevasse de la peau, le journal n’y fait
rien, sur un banc je ne tends pas la main, honneur mal placé sans doute, ou
peur d’être encore plus invisible que je ne le suis. Mauvaise passe de la vie,
soi dit sans philosophie. Le temps coule à petits flots tel un ru séché par
l’été, ha douce période que sera l’été, plus de centre, plus d’attente pour un
repas, rien, les vacances font tout oublier. Elles ne nous oublient pas, le fil
tranchant me prendra, le quatorze pendant que certain dansent sous les gerbes
lumineuses étoilées, en charrette le dernier voyage je prendrai. Ha comme elle
est douce la vie qui se finit.
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Ecrit par ode, a 00:49 dans la rubrique "Histoire".
Lundi (11/06/12)
loto ???
Si j’avais des milliards je serais milliardaire,
Je n’ai que des centimes je suis donc sentimental.
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Ecrit par ode, a 09:26 dans la rubrique "Citations".
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