Grimoires

Le temps passait, passe, passera,
paresseuse caresse, divin prétoire,
ou l’on déverse les sucreries de l’Histoire.

Il était, est, sera une fois,
dix fois cent fois qui sait où l’aventure s’arrêtera,
limbe du ciel, éclat de la nuit, ténèbres hospitalières…

Il irait ou ira, de sont petit couplet,
personne pour contredire des paroles trop répétées
habitude malhabile gravé dans la multitude.

En cet instant ou en un prochain,
je me rends compte que je ne sais rien…

Si message il y avait, a ?
bien que lisant je ne le trouve pas.

Ne me dites rien, surtout rien,
ne serait-ce qu’une mauvaise blague que cela ?

Au cœur de la vie les images me lassent,
L’hémophilie temporelle est là
seul à la regarder s’écouler, rien ne change.
Les bouleversement ne sont là que pour ponctuer les banalités.
Observer les âmes s’envoler stoïquement sachant que cela n’est rien,
une étape, un chemin de plus à parcourir.
Tous cela est trop long, dix heures, deux jours, un mois, un an…
Cela ne se peut pas…
Fasse que le sentiment ne se transforme pas en son opposé…
 

Et la devant lui le chef-d’œuvre se tenait

rien ne manquait, tout était à la place voulu…
un dernier petit point ou deux méritaient d’être rectifiés,
mais alors tout serait trop parfait,
son charme vient de ses défauts, elle parait réelle, vraie…
trait pour trait l’imagination s’est poser sur le papier,
la suite est sorti de la glaise,
instant charnel ou les formes paraissent sous les mains qui pétrissent,
là, seul dans ce grand hangar, petit à petit, la vie se fait en elle,
des ondes passent d’un corps à l’autre,
la magie s’opère, elle prend de l’énergie,
se gonfle, gagne de la force.
au dernier assaut il s’écroule…
il est vidé, elle a tout pris
un rayon de soleil glisse sur son visage,
les yeux s’ouvrent, lourds d’une nuit de labeur
elle est toujours là, belle et redoutable,
des mois à la penser, des jours à la façonner, une vie pour la regarder…
à genoux il la contemple, il sourit…
se rappelle les moments d’intimités,
ses tendres caresses créatrices…
il n’y aura plus que des souvenirs.

Et la devant elle le créateur pleurait.

ode

La patience, est une qualité que je ne possède plus
Les dés sont dardés, à leur résulta, je me courberai.
Mais, me déposséder du peu qu’elle ma alloué,
Serai une saisie que je ne pourrai supporter…

Dormir sang rêve
Boire sang oublier
Lire sang rien écrire
Imaginé sang concrétisé
Exister sang vivre
Chérir sang échange
Puissance sang contrôle
Dépendant sang drogue
Malveillant sang méchanceté

Il s’écoule par la tranché
Mais il ne sera pas gâché
Sert tois en pour apparaître
Car je t’ai invoqué

Si la dame me souri
A t’a vue, ignorerai la folie
A ma dextre tu te placeras
Mes ordres tu exécuteras

Pour mon délice ta force
Pour le délire ton rostre
Pour le soir t’es appétit
Pour la nuit ta sauvagerie

T’es services seront des sévisses
Nous deviserons par maléfice
Nous contre le monde entier
Chassent la moindre parcelle de bonté

Et au firmament quand leur sort sera sellé
Alors de ton coté nous nous rendrons
Car pour toi n’était qu’un pion
A mon tour ne servirai que toi

T'es comparses rirons de moi
Quand ils seront le pourquoi
De la défection que me suis infliger
Par haine ma dame de n’avoir pu vous possédez

ode

Devant un grand crème
Les mots double s’emmêle
Dans de lyrique pensé
Dur a décliné

Ya un truc qui’m titille

Quand le doute s’ramène
Avec ces potes blêmes
Qu’ils capturent l’étonnement
Le troquent en tourments

Ya un truc qui’m titille

Quand entre chien et loup
Les pas mène n’importe ou
Qu’il faut juste marché
Pour essayé d’oublier

Ya un truc qui’m titille

Quand du haut d’un bâtiment
Le flux et le reflux du vent
Transformé en ouragan
N’efface ni songe ni sentiment

Ya un truc qui’m titille

Quand dans la méditation
Surgisse des allusions
Se déposent telle des alluvions
D’ou fleurisse une passion

Ya un truc qui’m titille

Quand louna se pressent le soir
Dans des habits drapé de noir
Belle, lumineuse mais éloigné
Semblable à l'âme temps désiré

Ya un truc qui’m motive !!!

ode

Seul, nomade de la nuit

Dans l'espérance futile de trouvé un cens à la vie

Mes pas ne m’emmène nul par

Les pensées tours à tours s’égarent

Un pont supporte mes bras croiser

La seine me laisse la regardé

Puis dans un souffle glacé, tu te dévoile

Comme sorti de mes rêveries, une étoile

Juste tombé du firmament

Sur le coup je m’émerveille t’elle un enfant

Apres avoir recouvert les pavés

Tu te charge de mes mauvaises pensées

Nuage de flocon scintillant

Sous l’éclat d’un luminaire étincelant

Me replonge dans la féerie

Des écrits que l’on conte à la lueur de la bougie

Le doux crépitement de la cheminé

Le vin à la cannelle que l’on fait chauffer

Dans l’âtre claque Les marrons

Tous chantent à l’unisson

Des décorations réalisées à la main

Parachève se souvenir serein

Je rattrape ma route en fredonnent un refrain
Ne sachant ou je vais mais me sentant bien…

ode

T’offrir un présent qui te prouve se que je ressens
Ou pour te faire plaisir tout simplement
Pour l’un je ne sais que trouver
A par mon cœur je ne saurais que te donner
Pour l’autre à une sorte de défi tu ma convié
Est-ce l’oiseau bleu que je dois rechercher ?
En revoyant le film te rappelleras-tu
Que ni passé ni futur ne solutionnent tes bévues
C’est dans le présent que tu trouveras la solution
Il faut simplement que tu y fasses attention
Tout dans la vie n’est pas de ta faute
Pardonnes toi tu le mérite autant qu’une autre

ode

Respect des anciens ou défi face au destin
En une journée les peurs primaires reprennent vigueur
Par jeu ou envi certain se grimes un mauvais teint
Alors que d’autres prennent leur masques moqueurs
De partout surgissent des êtres exquis
Burlesque, sexy, grotesque, terrifiant ou charmant
Ils vont et vienne proposant le défi
Ne pas leur répondre serai un manquement
Car la taxe est vielle et bien défini
Elle exige une bêtise ou une sucrerie
Merci soirée ou tout est permit
Grâce à toi je peu mettre des habits
Qui habitude font sourire ou grimacée
Les gens dans leurs costumes normalisée
A tous ceux la je cite toute la soirée
La salutation que le Kurgan a crié
« bonne fête des morts » j’aime beugler
D’une voie caverneuse et peut à peut enrouer
Ils sourient, se détournent, ou sont enjoués
Pour moi vraiment cette nuit est sacrée

ode

Que la vie te soi aussi douce qu’une caresse dans le coup
Qu’elle soi bonne comme le premier fruit goûté au printemps 
dur comme la mie de pain juste sortie du four
rempli comme le vase qui déborde de fleur
captivante comme le regard d’un bébé qui découvre le monde
intense comme un baisé après une longue séparation
longue comme les nuits ou je pence à toi et que tu n’es pas la
Bien a toi … un jour peut être, tu te reconnaîtras

ode

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