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Grimoires



Vendredi (19/02/16)

bonne conduite

Loin de moi l’idée farfelue de prétendre vous asséner d’un trait les vérités absolues, vous êtes ici de votre plein gré. Comme madame vous l’a montré et démontré, la gorge peut être traitée de maintes et multiples façons, vous fûtes je crois, à en entendre les mélodieux sons porcins jaillissant de ce lieux, qui me firent accourir pensant à malheur que ma mie fut terrassée par une douleur indéfinissable, un bon élève je le crois.


Il serait inconvenant de ma part de jeter le doute quant à votre présence dans le petit salon, il serait mal venu de la vôtre de ne point remettre votre tenue en une ordonnance correcte où le haut ne serait point en bas et vice et versa.


Sachez monsieur et vous madame, que je ne demanderai pas réparation de l’affront que vous venez à deux de me faire.


Apprenez tout du moins, que seule la porte qui se tient derrière moi n’est verrouillée, que vu que par courtoisie envers moi et le pamphlet qui à coup sûr en aurait émané, vous avez donné congé pour la journée à nos gens et que par mégarde une bougie est tombé sur les rideaux du boudoir, oui, les six voyez où conduit la déveine dans votre vie, il se pourrait que cela soit votre denier ébat.


Ne vous inquiétez pas vous reposerez dans le caveau de vos ancêtres, il serait bon que vous leur adressiez une ultime prière, car si d’après vos dires toute votre noble ascendance a franchi sans encombre les portes de Pierre le Saint, vous n’en verrez pas un écrou.


Je vous enlève un souci de plus ma chère, grâce a votre fortune je me fais un devoir de me racheté auprès de qui de droit pour que l’éternité qui me sera accordée le soit bien accompagné.


Allons ma mie, ne pleurez pas, la rage et la supplique ne vous vont pas.


Je pars de ce pas me lamenter dans la rue, après que ma partie de jeu de paume soit achevée bien entendu, je m’en voudrai tant de faire patienter votre père.


A dieux donc belle Lilith, ou à diable devrais-je dire.

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Ecrit par ode, a 10:07 dans la rubrique "Histoire".


Mardi (05/02/13)

bonne conduite

Loin de moi l’idée farfelue de prétendre vous asséner d’un trait les vérités absolues, vous êtes ici de votre plein gré. Comme madame vous l’a montré et démontré, la gorge peut être traitée de maintes et multiples façons, vous fûtes je crois, à en entendre les mélodieux sons porcins jaillissant de ce lieux, qui me firent accourir pensant à malheur que ma mie fut terrassée par une douleur indéfinissable, un bon élève je le crois.

 

Il serait inconvenant de ma part de jeter le doute quant à votre présence dans le petit salon, il serait mal venu de la vôtre de ne point remettre votre tenue en une ordonnance correcte où le haut ne serait point en bas et vice et versa.

 

Sachez monsieur et vous madame, que je ne demanderai pas réparation de l’affront que vous venez à deux de me faire.

 

Apprenez tout du moins, que seule la porte qui se tient derrière moi n’est verrouillée, que vu que par courtoisie envers moi et le pamphlet qui à coup sûr en aurait émané, vous avez donné congé pour la journée à nos gens et que par mégarde une bougie est tombé sur les rideaux du boudoir, oui, les six voyez où conduit la déveine dans votre vie, il se pourrait que cela soit votre denier ébat.

 

Ne vous inquiétez pas vous reposerez dans le caveau de vos ancêtres, il serait bon que vous leur adressiez une ultime prière, car si d’après vos dires toute votre noble ascendance a franchi sans encombre les portes de Pierre le Saint, vous n’en verrez pas un écrou.

 

Je vous enlève un souci de plus ma chère, grâce a votre fortune je me fais un devoir de me racheté auprès de qui de droit pour que l’éternité qui me sera accordée le soit bien accompagné.

 

Allons ma mie, ne pleurez pas, la rage et la supplique ne vous vont pas.

 

Je pars de ce pas me lamenter dans la rue, après que ma partie de jeu de paume soit achevée bien entendu, je m’en voudrai tant de faire patienter votre père.

 

A dieux donc belle Lilith, ou à diable devrais-je dire.

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Ecrit par ode, a 00:55 dans la rubrique "Histoire".


vie ma vie

Ha comme il est doux l’hiver quand il est froid,
gèle les cœurs, crispe les mains dans de démentes postures.
Le froid taille son chemin entre les crevasse de la peau,
le journal n’y fait rien, sur un banc je ne tends pas la main,
honneur mal placé sans doute,
ou peur d’être encore plus invisible que je ne le suis.
Mauvaise passe de la vie, soi dit sans philosophie.
Le temps coule à petits flots tel un ru séché par l’été,
ha douce période que sera l’été,
plus de centre, plus d’attente pour un repas, rien,
les vacances font tout oublier.
Elles ne nous oublient pas,
le fil tranchant me prendra,
le quatorze pendant que certain dansent sous les gerbes lumineuses étoilées,
en charrette le dernier voyage je prendrai.
Ha comme elle est douce la vie qui se finit.

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Ecrit par ode, a 00:49 dans la rubrique "Histoire".


Vendredi (23/09/11)

douce mort


Je ne sais par ou commencer, l’histoire est tellement aberrante, autant commencer par me présenter.

Je m’appelle Armand, je suis chef de service dans un hôpital Suisse.
Il y a trois mois un homme est venu en consultation dans mon service, je l’ai fait s’asseoir en lui demandant le motif de sa venue, il m’a affirmé avec un grand sourire qu’il désirait connaître la procédure pour une assistance au suicide en milieux médicalisé.
J’ai tout de suite pensé qu’il avait une maladie grave ou un proche dans une situation critique, il n’est pas rare que le fait de trouver une aide dans ce genre de situation mette le patient dans une sereine attitude mais de la à sourire de cette façon.
Je lui expliquai donc les procédures existantes, et les divers choses légales à savoir pour que ce soit bien le patient qui prenne la décision et non une tierce personne, clôturant par une demande simple sur son état de santé, « il est excellent » me répondit-il en souriant de plus belle, c’est donc pour un proche et lui de répondre un non catégorique.
Etant un peu perdu, je lui demandai de me décrire ce qui n’allait pas, l’homme me dévisagea un moment puis entra dans un long monologue ou il me parla de sa vie.

Il était né en France dans un quartier modeste de Paris, avait eu une scolarité un peu difficile qui se fini à 17 ans quand il décida d’apprendre un métier sur le tas comme il aimait à le dire, il devint brocanteur, en dix années de galère il se fit une bonne place dans le métier, peu de temps après il commença à créer une chaîne de magasin d’aide au mariage ou les couples pouvaient déléguer tous les préparatifs.
Nouveau succès la suite est logique vous pensez bien, mariage, deux enfants, en un mot le bonheur.
Alors pourquoi cette envie d’en finir dit-il en m'ôtant les mots de la bouche, car tout va bien, c’est mon âge d’or personnel, c’est le bon moment pour clôturer cette belle vie.

Il en avait parlé à sa famille et avait réussi à leur faire comprendre qu’il voulait être maître de son destin jusqu’au bout, il voulait une fête d’enterrement aussi sympathique que son mariage, il avait déjà prévenue toutes les personnes concernées.

Je n’en revenais pas, je lui ai demandé de bien lire les documents et de revenir dans deux semaines le temps de consulter d’autres collègues sur son cas un brin compliqué.
A l’hôpital l’histoire fit grand bruit, entre ceux qui trouvaient tout cela stupide et ceux qui trouvait le principe intéressent, il fallait le comprendre, sa démarche n’était pas dénué de sens, mourir sans avoir connu la déchéance de l’être, pas d’agonie ni de souffrance, surement quelques pleurs des proches, mais ils auraient pleuré de toute façon et la cerise sur le gâteau, ne laisser de son vivant que de bons souvenirs.

Deux semaines étaient passé et notre homme était de retour, je l’ai examiné, nous avons parlé technique, idéologie, principe, philosophie, que voulez vous… il était sain de corps et d’esprit que dire d’autre.

A oui, je rentre de sa fête d’enterrement, je sais pourquoi j’ai dit oui, il y a d’autre moyen qui existe qui ne sont pas tous vraiment au point, il y a toujours des loupés qui se retrouvent comateux ou pire, là on savais où on allait.

Mais je suis toujours troublé, il a fait la fête avec tous ses amis, a dit au revoir à tout le monde puis est venu me rejoindre dans une pièce où j’avais tout installé, je lui ai expliqué une dernière fois les consignes puis me suis en allé, sa femme l’a rejoint ils ont passé une heure ensemble, elle est venu me voir, elle était heureuse je ne comprenais pas, comment avait-il réussi à convaincre tous ses proches, quel était le secret de son argumentaire. Je suis retourné le voir après un délai convenable, il était étendus dans son cercueil, un sourire satisfait au lèvre et le bouton déclenchant l’injection dans la main.

Au petit matin nous l’avons enterré, l’ambiance était irréelle, les convives ne lui ont pas dit au revoir, tout avait déjà été dit le soir même du coup il n’y avait que sa femme et moi.

Je ne sais toujours pas si il a fais le bon choix ou non, après avoir traité des dizaines de cas d’aide à une mort honorable et décente, une seule chose reste sure, il est mort avec panache et je ne l’oublierai jamais, je n’ai qu’un vrai regret, je pence sincèrement que si je l’avais rencontré plus tôt, nous serions devenu ami.

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Ecrit par ode, a 22:33 dans la rubrique "Histoire".


Mardi (15/02/11)

L’ivresse du grand soir.


C’était pourtant pas grand chose, un enfant arrêté par les flics, un vieux qui vient lui prêter main forte, une bastonnade comme il y en a eu tant d’autres. Mais ça s’est passé à Saint Michel, devant les bouquinistes, les badauds ont filmé, d’autres se sont interposés, ça a dégénéré, les portables d’un coté, les radios ondes courtes de l’autre, les copains de copains sont arrivés et des meutes de CRS en tenues complètes, la messe était dite, les quatre agents étaient au sol, à coté des deux victimes, ils avaient subi le même sort qu’eux.
Les CRS ont pris position et les rafles ont commencé, il suffisait d’être dans la rue pour se faire arrêter.
Les badauds se sont transformés en citoyens et ont commencé à se défendre en groupe, comme ça, spontanément.
Peu se connaissaient, mais la même volonté animait tout le monde, les combats furent rudes les deux camps eurent des blessés, mais un seul eut des morts, et par dizaine.
Les policiers se sont retirés par ordre du préfet car ils étaient débordés, les révoltés de Saint Miche comme on les appela plus tard les ont poursuivis, jusqu’au quai des Orfèvres, le siège du bâtiment, par deux cent mille manifestants selon les médias sur place, eurent comme réponse des tirs à balle réelle de certaines fenêtres.
Des pavés volèrent, des bouteilles vides, puis pleines, ils avaient réussi à trouver des tuyaux pour siphonner les cars de police garés là, l’incendie ravagea tout le bâtiment, l’Histoire de Paris se construisait sous nos pas en emportant les vestiges de son passé dans les cendres de l’oubli.
Les agents qui réussirent à s’enfuir parlent d’une meute de fous qui leur courait après dans toutes les rues.
Je ne sais qui a lancé le premier mot à ce sujet, mais en un instant tout le monde criait « à l’Elisée ».
Là j’ai passé quelques coups de fil et compris ce qu'il se passait, les images de tout depuis le début circulaient sur le net, partout en France des frondes étaient en route, le mouvement était parti d’un fait divers banal pour les journaux, il s’était transformé en révolte spontanée.
Cela fait maintenant un an, et tant de choses se sont passées, si vite…
Le président a déclaré l’état d’urgence, et l’armée est sortie de sa réserve pour inonder les pavés de sang, des militaires ont fait acte de désobéissance, ils ont été arrêtés, d’autres ont rejoint le camp des insurgés, nous avions des armes, et des hommes qui savent s’en servir, après trois jours de bataille rangés dans les rues, ils sont passés à la vitesse supérieure, l’Elisée était entourée de chars, des tireurs d’élite dans tous les coins, mais c’était sans compter Moussa.
Moussa c’était le nom du gamin qui avait reçu le coup de matraque de trop, né de mère kabyle et de père lorrain, le père car c’est lui qui nous intéresse était au GIGN, et il était posté sur un toit, dans la lunette de son fusil il regardait ce qu’il se passait, cela faisait quatre jours qu’il était mobilisé, quand son portable sonna.
Au bout du téléphone, sa femme, elle qui n’appelait jamais quand il était de service, cela lui mit tout de suite la puce à l’oreille, quelques mots plus tard une larme de haine courait le long de sa joue, il reprit ses esprits, visa, et tira.
Il était formé à tuer, et les experts qui écrivent les livres ne comprendront jamais pourquoi le tir a touché le cou, certains diront que sous l’effet de la colère le tir fut mal ajusté.
Mais sa femme elle dira un jour qu’il voulait qu’il se rende compte de ce qu’il avait créé en dix ans de présidence.
Il est mort en trois minutes, le tir lui avait explosé une partie de la veine jugulaire, le cerveau était alimenté, mais le sang ne revenait plus dans le corps.
Deux heures plus tard le président de l’assemblée a fait une annonce télévisée pour calmer les esprits, en fin stratège, il s’entoura de gamins à l’antenne, en faisant remarquer « que maintenant il fallait construire un avenir pour les plus jeunes d’entre nous », pour preuve d’apaisement, il retirait l’armée des rues.
Cela eut un double effet, les bâtiments publics furent pris d’assaut et les militaires se révoltèrent, des minis putschs éclataient ça et là, ils ne voulaient pas rentrer quand « la patrie était en danger », les soldats restant faisaient partie du noyau dur de l’armée, celui qui soutient les dictateurs jusqu’au bout, donc l’armée voulait prendre le pouvoir mais il n’y avait aucun général qui aurait pu devenir leader d’un mouvement contre révolutionnaire, du coup, le tas de putschs se transforma en tas de merde, ils commencèrent à piller les maisons, à tuer sans sommation, la guerre civile atteint son paroxysme quand un conseil de sages se réunit pour décréter « Paris zone franche et commune autonome » des milliers de gens participèrent à la remise en route des infrastructures, ils ne travaillaient plus pour un salaire, mais pour le bien commun.
Le conseil vota des lois, dont la première et la plus emblématique « le pouvoir ne sera plus jamais entre les mains d’un seul homme, un concile de trois personnes renouvelables une par une tous les trois ans sera en charge des rôles anciennement portés par le président de la république. » une deuxième solidifia la popularité de cette nouvelle assemblée parlementaire, « les deux assemblées sont dissoutes, elles sont remplacées par une assemblée qui garde le nom de nationale qui sera constituée sur la base de la parité sociale, le triumvirat a en charge de faire des élections tous les cinq ans pour la renouveler par tiers en laissant toujours des pourcentages de représentativités sociales. »
Une milice nationale fut constituée pour ramener l’ordre et arrêter les derniers soldats qui n’en faisaient qu’à leur tête.
Cela fait un an et cela marche, je n’en reviens pas, les élections ont eu lieu il y a trois mois, le pays se reconstruit, les gens ont des tas d’idées pour que les choses soient simplifiées.
Cela fait un an et je suis enfin vraiment à ma place dans une société que j’aide à construire petit à petit.

  

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Ecrit par ode, a 08:20 dans la rubrique "Histoire".


Lundi (14/02/11)

La st Valentin…

Comme d’habitude,
voilà une fête détourné de sont lointain objectif.

Le 15 février
est une date qui fait de nos jours coulé beaucoup de chocolat…

Mais il n’en a pas toujours été ainsi.

Premièrement
parce que le chocolat n’est arriver sur le vieux continent
( à ne pas confondre avec incontinent )
que depuis cinq cent ans.


Deuxièmement
(c’est surement le point le plus importent)
car cette fête date d’Athènes.

Comme tous se qui viens de chez les grec est repris par Rome
et que Rome forte de décadence est devenu chrétienne
on se retrouve avec une fête
que les fils du poisson on du interprété à leur manière,
ba oui les coutumes on la vie dur,
donc plus taud que de les dénoncé
ils ont vites compris qu’ils fallait mieux les assimilés,
ou pas...

Nous voici donc à Athènes la sage,
ou les divers divinités Grec sont prié jour après jour,
il y a un dieux pour tous
et la hiérarchie des importances dans la vie
installe la reproduction presque en haut
(ba oui on mange aussi)
qui dit reproduction dit fertilité
(qui a pensé au sexe !!!)
le moi qui enfermai ces jours de fête s’appelait « Gamélion »
il célébrai l’union entre Héra et Zeus,
les vieux des dieux de l’Olympe quoi.

Quand Rome mi sont née la dedans
les choses changèrent un peut,
le jour dit du 15 février étais nommé « Lupercales » de Lupercus
(et non pas l’upercute)
c’étais le dieu de la fertilité,
on le représentai vêtu d’une peaux de chèvre.

Ce jour les prêtres de Lupercus sacrifiaient une chèvre,
buvais du vin et couraient dans la ville vêtu de peut de chose.

Il touchai les passant avec des morceaux de peau de chèvre,
les romaines les approchai sans crainte,
car le fait d’être touché par eux
leur facilitai l’accouchement et les rendais fertile.

La fête remerciai aussi pan,
dieux de la nature et Junon,
déesse des femmes et du mariage.

Et les catho dans tous ça ils arrivent quand ???

Ba c’est la,
que le légendaire avant-gardisme catholique prend le relais,
ou pas…

Ba rien, rien de rien pendant des années
et un jour, enfin, dans le quatorzième siècle…

Des écrits anglais parle de la saint Valentin
comme le jour des copulations ornithologiques…

Il en est aussi fait mention dans la dame a la licorne.

Dans ces temps pas si reculé que ça
les amoureux échangeaient des billets doux
( ba y avait pas internet quoi !!!)
ou l’on se nommai « mon Valentin »

L’église nouvelle mouture
( comprendre moderne )
ne voulant pas en resté la,
en 1969
( qui a dit année érotique)
nettoya le calendrier de toute les fête « légendaire »,
elle a donc viré comme un malpropre
le sieur Valentin du calendrier officielle.

Mais c’étais sans conté sur les fleuristes,
confiseurs et autre vendeur de carte blindé de cœur…

Qui contrôle le papier met se qu’il veux dessus !!!

Donc nous voici avec un saint en disgrâce papal
toujours noté dans les épiphanie européenne.

Et vive le capitalisme !!!

 

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Ecrit par ode, a 16:13 dans la rubrique "Histoire".


Mardi (08/02/11)

L’ivresse d’un grand soir

Ha, comme le vent est doux ce soir,
s’installer sous un arbre et regarder l’eau couler,
le saule est le seul à pleurer ici,
les derniers oiseaux chantent quand le jour disparait.

Un verre de vin,
des mets de divers régions,
le calme entrecoupé de clapotis…

La vie est si simple
quand on prend le temps de flâner.

Les yeux fermés,
sentir le souffle du fleuve sur la peau,
la nuit comme l’encre ne laisse rien percer
sous les paupières baissées.

Un éclair parait,
les yeux éblouis,
un bateau aux milles aveuglants projecteurs
vogue vers la cathédrale.

Tout ranger,
s’épousseter,
prendre le chemin du retour…

Ha non, je vais faire un détour…

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Ecrit par ode, a 16:03 dans la rubrique "Histoire".


Vendredi (07/01/11)

dépard

Las,
las de tou,
je ne sais que faire pour avancer,
les épaules sont lourde,
le temps est gris,
j’ai mal, entend-tu, j’ai mal,
mais rien ni fait,
nulle supplique n’y fera rien,
la décision est prise de longue date,
mai les mots ne sorte pas,
tu laisse croire des choses qui n’existerons pas,
tu joue…

Donc,
il ne reste qu’une chose à faire.

Aujourd’hui je par,
la route aura raison de la mélancolie,
les couchés de soleil remplaceront les films,
le paysage changera de pas en pas.
Ou me guideront-il,
nul ne le sais,
un sac, une gourde, du change, pas de livres,
rien qui ne me raccrochera au passé.

Ton monde n’est pas fait pour moi,
parfait,
je m’en retire.

Si par mégarde tu me croise,
dans un lieu ou un autre,
oubli mon nom,
n’i pence même plus.

J’irais la ou long veut bien de moi,
si cet endroit existe.
S’il n’est que fantasme,
alors les chemins s’ouvriront
et le sentier sera mon eldorado.

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Ecrit par ode, a 10:28 dans la rubrique "Histoire".


Vendredi (17/12/10)

Redécouverte

Sort, tu es la, l’odeur est trop forte ...

Tu croyais me surprendre,
tu es encor trop sur de toi,
aller, viens à découvert que nous puisions discuté.
Tu es bien la pour ça non ?

Bien, viens par la...
Comme tu parai fort maintenant,
ton apprentissage t’a bien profité,
ton maitre doit être fier de toi.

Par contre, il t’a mal conseillé sur la tenue,
nous nous devon de passé incognito,
car la vie est dure avec nous,
les prédateurs guettent partout des la nuit tombée.
Les cheveux longs,
pourquoi pas, sa donne un style,
puis ça revient toujours d’époque en époque,
mais tout ce cuir,
ce métal brillant incrusté dans t’es tenu et dans t’a peau...

Je n’ai rien contre les hommes qui porte des boucles d’oreilles,
mais elles sont censées être aux oreilles, non ?

Les signe cabalistique sur ton bras...
Es-tu allé en inde,
voire nos frères souterrains et leurs offices flamboyante ?
Non, un tatouage à châtelet?

Quelle est ce cliquetis dans t’a bouche ?
Un... percing??

Je n’avais vu personne,
depuis Alexandrie la grande,
porté ce genre de décoration...

Gard à toi...
sens-tu l’odeur de tous ces minions qui nous entour ?
Il n’y a pas d’échappatoire,
il va falloir les affronter.

Que je tolère mes enfants sur mon territoire,
soit, mais les jeunes piques assiette, ça non !

Méton nous dos à dos,
ils sont nombreux,
mais nous somme plus fort qu’eux à deux,
l’expérience jouera pour nous.

Sauf si tu conte vraiment,
te servir d’eux,
pour me voler mon bien le plus précieux.

Oui, en eux on sen un peut de toi et donc de moi,
aller, tu sais que tu ne peu gagné contre moi.

Que cache-tu sou ton mentaux ?
Comment t’es-tu procuré une épée sainte ?
Internet???
Vraiment je me fais vieux,
tou va trop vite depuis quelque temps...

Tu, tu as raison, je ne sers plus a rien...

Allé,
emmène-moi chez toi tu finiras le travail la ba,
je n’ai plus le goût de marché dans ce monde
ou rien ne me raccroche au bonheur...
Vien fils...

Par contre si tu t’en remets un jour,
sache qu’il ne faut jamais tourner le dos
au porteur du glaive sacré de LUG,
jeune présomptueux...

T’a tête sera une belle décoration pour mon cabinet de curiosité...

Quant a vous fuyez,
si par bonheur vous me recroisé c’est au menu que vous finirez...

Bon, ba encore un costume de taché...

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Ecrit par ode, a 12:15 dans la rubrique "Histoire".


Lundi (13/12/10)

Merci ...

Du bout des doitgs,
un tapoti, un tapota,
les touches laiteuses et d’ébène s’abaissent et s’élèvent,
portées par le vent,
dans un doux murmure,
ta voix, calme, monte en régime …

Sirène paisible seule dans le salon,
jouant peu mais bien…

T’entendre chanter est charmant  

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Ecrit par ode, a 16:41 dans la rubrique "Histoire".


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