crève charogne...
-Vous savez, elle est partie dans son sommeille, le soir elle nous a dit « bonne nuit » le matin au réveil elle avait un sourire au lèvre, on pence à une embolie… Elle est en paix maintenant, courage…
Stoïque pas un mots ne sort, gêné, l’infirmier s’en va.
Quelle phrase stupide, elle est en paix… Connaissent la souri, surement pas, elle doit rôtir dans un des cercles, voire même il lui en on réservé un spécial combo pour raclure de première, autant de vice dans un seul être, personne ne pourrai y croire, une vie entière à faire le mal en prêchant le bien. Plu de souffrance gratuite, plu de dénonciation, plu de sang sur les main, rien, nada, elle est morte, décédé, caput, fini…
Depuis deux ans, tous les jours, je passe à l’hôpital pour la voir, on parle des chose vécu, elle me dictai sa vie pour laissé une trace disait-elle sacré héritage que voilà…
Je veux voir le corps pour en être sur, avec ce genre de personne, vau mieux vérifier. Elle est allongé sur un brancard, pénurie de personnelle oblige on s’occupe des frigos en dernier, elle a le petit sourire narquois qu’elle prenais quand elle me racontai ses horreur, regard à gauche puis à droite, seul, je pose me main sur sont thorax de longue minute, il ne se soulève pas, sont corps est froid, j’en ai le cœur net, enfin, elle est morte.
Jamais un soupir de soulagement ne m’avait autant détendu.
Mais que faire de son recueille, nous en étions au pinaillage et détaille de fin de dictée, elle précisait des points de vue pour mieux se mettre en valeur… « Si j’ai prévenu la police c’est qu’il se droguai, c'était pour sont bien, mais le pauvre s’est jeté par la fenêtre quand il les a vue, on me dit plus tard qu’il n’avait pas de papier… »
Toute ces histoire, qui les liras, des fachos à l’âme de SS, des voyeurs en mal de sensation, et si un prix couronnai le tous… « bravo pour votre bouquin, c’était vraiment une femme formidable… »
Non, ce n’est tous bonnement pas possible, personne ne dois plus jamais entendre parlé de cette harpie, souvent j’ai rêvé de débranché les divers machines qui l’aidai à survivre, la j’ai enfin la revanche de toute ses victimes, entant que nègre d’une tortionnaire, je me fais bourreau, ton récit partira en flamme, se sera comme une seconde mort pour toi…
Va donc personne ne te regrettera.
Ecrit par ode, le Lundi 20 Septembre 2010, 17:16 dans la rubrique "Histoire".
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