dépard
Las, las de tou, je ne sais que faire pour avancer, les épaules sont lourde, le temps est gris, j’ai mal, entend-tu, j’ai mal, mais rien ni fait, nulle supplique n’y fera rien, la décision est prise de longue date, mai les mots ne sorte pas, tu laisse croire des choses qui n’existerons pas, tu joue… Donc, il ne reste qu’une chose à faire. Aujourd’hui je par, la route aura raison de la mélancolie, les couchés de soleil remplaceront les films, le paysage changera de pas en pas. Ou me guideront-il, nul ne le sais, un sac, une gourde, du change, pas de livres, rien qui ne me raccrochera au passé. Ton monde n’est pas fait pour moi, parfait, je m’en retire. Si par mégarde tu me croise, dans un lieu ou un autre, oubli mon nom, n’i pence même plus. J’irais la ou long veut bien de moi, si cet endroit existe. S’il n’est que fantasme, alors les chemins s’ouvriront et le sentier sera mon eldorado.
Ecrit par ode, le Vendredi 7 Janvier 2011, 10:28 dans la rubrique "Histoire".
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