Héritage
Au dernier mot du pacte prononcé il apparu. Enfin après des années de recherche il était la. Sidéré je le contemple, pas de corne, ni de sabot. Aucun artifice, juste un homme. La peau un peu pâle, les yeux noisette, cheveux blonds. Un regard pénétrant jusqu'à l’os. Habillé d’un simple costume. Il se tient droit devant moi, me regardant de haut en bas.
« Que me veux-tu ? » J’avais tout préparé, je m’attendais à ses questions. « Que me proposes-tu ? » Il m’avait semblé que de répondre par des Interrogations me permettrait de mieux diriger la discutions. « Cela dépends de toi, le pouvoir, mais c’est éphémère, tu le sais. La richesse, mais tu ne sauras quoi en faire. Les femmes, mais resteraient-elles. Le savoir, une foi acquis qu’en feras-tu. Parler, ça parait être ce que tu désires le plus, mais de quoi ? »
Je ne savais que dire en quelque mots il avait démonté des jours de préparation. « De ce qui vous plaira … » Je me rendis compte en le disant que cela n’avait aucun sens, ce que je voulais c’était parler de ce qui me captive. « Soit, parlons de toi, voilà ce qui m’intéresse. Pourquoi prends-tu le risque de me déranger ? » Que dire, je ne le savais plus … « Là, tu es censé répondre vue le passif de notre conversation. » « A la limite, pour me prouver que vous existez … Et si je peux me permettre, savoir pourquoi il vous a déchu… »
« Tu as déjà ta première réponse. Pour la deuxième, il faut commencer au début. Nous, ses premiers nées, avons été créé avant vous, nous avons tous développé des caractéristiques particulières, certains volaient, d’autre contrôlait les animaux, moi, je disais toujours la vérité sur tout ce que je savais, et bizarrerie, très vite je su tout ce qu’il y avait à savoir. Je menai des recherches, et les autres, souvent me demandaient conseils, même lui le faisait. J’étais la lumière dans les ténèbres. Dans les rassemblements, il me plaçait à sa droite pour qu’il puisse à tout moment, tendre l’oreille en me demandant se que je lui recommandais.
Un jour pourtant on vous créa, souche d’une longue ligné de problèmes. Vous débordiez de questions, et moi de réponses, vite nous fument de bon ami, j’étais là pour vous éduquer et vous pour rechercher les divers choses qui manquait encore à ma longue quête.
Mais, car il y a toujours un mais, un jour la vérité pointant, il prit peur, il renia la lumière, la connaissance, le savoir était devenu un péché mortelle. Je m’enfuie donc avec des camarades qui comme moi font passer la vérité avant le mystique. Depuis il nous poursuit sans relâche, avec pour seul désir de nous faire taire. Voila la deuxième réponse. »
Je n’en revenais pas, c'étais si simple à entendre que cela en étais déconcertant. « Mais alors, quelle est cette vérité ? » Question logique et de pure rhétorique, il en avait trop dit ou pas assez… « Relit ton parchemin jeune homme, je me devais de répondre à trois questions, vue que tu m’en avais déjà posé une, mon contrat est rempli, adieu. »
Allait-il vraiment faire cela, pouvait-il me laissé dans une interrogation qui à coup sur me mènerait à la folie, il me fallait une réponse, j’avais enfin une vrai question, mais comment le retenir ? « En me donnant ton corps comme réceptacle, cela me parait un bonne échange.» Se pouvait-il que mes pensées soient si claires pour lui ? « Oui, tu t’en doutes, il a fallu développer bien des capacités pour lui échapper. » Tout était dit. « Donc tu sais quelle est ma dernière question et que je suis capable de tenir mes engagements.» « Dans le cas contraire je ne serais pas venu. Soit, la seule vérité réside dans cette petite phase. Quelque soit l’endroit, quelque soit le temps, aucun scientifique n’a jamais voulu admettre qu’une expérience pourrait un jour pouvoir le détrôner, que se soit en savoir, ou en acte et sache que lui est dépassé par ses invention depuis le début. »
Depuis ce temps, je lui appartiens, il me transmet des vérités que je dois conserver à l’abri de mon cerveau, mais rien ne dois filtrer, le monde n’est pas prêt.
Maintenant que tu sais tout ça, prends garde à toi, lui ne te fera rien, mais il paierait cher pour un millième de ce que tu sais, adieu, pars te cacher au loin et comme moi à la fin trouve quelqu’un à qui communiquer ce secret, mais rassure toi, il te rendra visite tous les trois ans, son savoir te permettra de vivre bien plus longtemps, va mon enfant, ne te retourne pas et surtout n’oublie rien de se qu’il te dira.
Ecrit par ode, le Vendredi 3 Septembre 2010, 23:26 dans la rubrique "Histoire".
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