L’ivresse d’un grand soir
Ha, comme le vent est doux ce soir, s’installer sous un arbre et regarder l’eau couler, le saule est le seul à pleurer ici, les derniers oiseaux chantent quand le jour disparait.
Un verre de vin, des mets de divers régions, le calme entrecoupé de clapotis…
La vie est si simple quand on prend le temps de flâner.
Les yeux fermés, sentir le souffle du fleuve sur la peau, la nuit comme l’encre ne laisse rien percer sous les paupières baissées.
Un éclair parait, les yeux éblouis, un bateau aux milles aveuglants projecteurs vogue vers la cathédrale.
Tout ranger, s’épousseter, prendre le chemin du retour…
Ha non, je vais faire un détour…
Ecrit par ode, le Mardi 8 Février 2011, 16:03 dans la rubrique "Histoire".
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