Douloureux réveille
Serait’il possible, ma mie, que l’aube ne vous effraies plus. Douce enfant, que de temps nous passâmes, seul dans ce gouffre infâme. Ou pour seule pitance, rampai à nous la vermine qui sur les sols dansent. Rappelez-vous, angelot crépusculaire, comme la verte vallée s’offrais à nos prunelles. Voyez maintenant c’est viles demeures qui brille plus que la lune ne l’a jamais fais. L’air est putride, les animaux sont partis, comment l’homme peut vivre dans ces contrées. Quelle être abject a pus concevoir une telle mascarade ?
A notre dernier réveille, il ne connaissait ce canton, ont-il envahi toute la terre ?
S’il vous siée, ma douce, nous pourrions voir au loin s’il reste quelque espace accueillent ?
Ha, vous ne voulez plus fuir. Nous irons donc à l’assaut en un duo terrible, comme le triste jour ou notre tendre maitre rendu l’âme. Souhaitons simplement, que leur arme ne soi devenu pire. Les chevaliers on du changé depuis temps d’années.
Soit, prenons notre envole, en l’honneur de tous ceux qui par leur seule présence vous dérangeai. Que la bataille commence, tremblé dans vos cœurs nous venons semer le malheur, vous nous avez tous voler, après ce jour jamais vous ne nous oublierez.
Ecrit par ode, le Mardi 31 Août 2010, 15:57 dans la rubrique "Histoire".
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